LE CONSEIL ECONOMIQUE DE MONACO EXPLORE DE NOUVELLES COLLABORATIONS AVEC MAURICE DANS LE DOMAINE DE L'ECONOMIE BLEUE
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Un intérêt commun pour le développement de l'économie bleue a animé les discussions lors d'une récente réunion entre le Conseil économique de Monaco et une délégation de l'île Maurice.
L'île Maurice, une petite nation insulaire située à environ 2 000 kilomètres de la côte africaine, est connue pour sa beauté en tant que destination touristique, mais elle commence également à se faire connaître pour son engagement dans l'économie bleue.
Cette caractéristique, parmi d'autres, a été d'un grand intérêt pour le Monaco Economic Board (MEB) qui a rencontré le 21 mars des représentants du Mauritian Economic Development Board. La réunion a également été organisée en partenariat avec l'Ambassade de la République de Maurice en France.
Les deux parties ont eu beaucoup à apprendre l'une de l'autre, les Mauriciens, pour leur part, apprenant à connaître l'écosystème commercial monégasque, et les Monégasques découvrant le potentiel de l'île Maurice.
CONSTRUIRE UNE BASE ÉCONOMIQUE BLEUE
L'économie de l'île repose traditionnellement sur l'agriculture, les exportations et le tourisme, mais depuis les années 1980, le gouvernement s'efforce de se diversifier au-delà de sa dépendance à l'égard de ces secteurs limités. Aujourd'hui, l'île Maurice se tourne vers la mer pour construire un autre pilier de sa fondation économique.
Le ministère de l'économie bleue, des ressources marines, de la pêche et de la navigation vise à développer le secteur, en doublant le PIB bleu actuel pour le porter à 20 % dans les années à venir, tout en promouvant l'environnement.
La stabilité de son gouvernement a permis à l'île Maurice de se développer non seulement dans le domaine de l'économie bleue, qui est gérée dans une optique de durabilité, mais aussi dans des secteurs tels que la finance, l'immobilier, l'industrie et les nouvelles technologies. La Banque mondiale classe l'île dans la catégorie des pays à "hauts revenus", la plus élevée.
CADRE INFORMEL
La journée a été ponctuée de réunions informelles au cours desquelles des personnes bien informées ont partagé leurs expériences.
Patrick Lecoy, PDG et fondateur d'EAD, une entité membre de la MEB spécialisée dans l'appui au développement international des entreprises, a évoqué la qualité de ses partenaires mauriciens et les nombreuses opportunités offertes, notamment pour accéder à la conquête de nouveaux marchés en Afrique du Sud et de l'Est. De l'autre côté, David Martial, un entrepreneur mauricien, a présenté son expérience réussie de travail avec Monaco.
Vers la fin de la journée, les délégués ont également rencontré Michel Gramaglia, Consul honoraire de Maurice à Monaco, et les dirigeants du Club des entrepreneurs monégasques en Afrique ainsi que Justin Highman, Directeur général adjoint de la MEB. Ils ont profité de l'occasion pour discuter des actions futures visant à renforcer les liens économiques entre les deux pays.
L'île Maurice, une petite nation insulaire située à environ 2 000 kilomètres de la côte africaine, est connue pour sa beauté en tant que destination touristique, mais elle commence également à se faire connaître pour son engagement dans l'économie bleue.
Cette caractéristique, parmi d'autres, a été d'un grand intérêt pour le Monaco Economic Board (MEB) qui a rencontré le 21 mars des représentants du Mauritian Economic Development Board. La réunion a également été organisée en partenariat avec l'Ambassade de la République de Maurice en France.
Les deux parties ont eu beaucoup à apprendre l'une de l'autre, les Mauriciens, pour leur part, apprenant à connaître l'écosystème commercial monégasque, et les Monégasques découvrant le potentiel de l'île Maurice.
CONSTRUIRE UNE BASE ÉCONOMIQUE BLEUE
L'économie de l'île repose traditionnellement sur l'agriculture, les exportations et le tourisme, mais depuis les années 1980, le gouvernement s'efforce de se diversifier au-delà de sa dépendance à l'égard de ces secteurs limités. Aujourd'hui, l'île Maurice se tourne vers la mer pour construire un autre pilier de sa fondation économique.
Le ministère de l'économie bleue, des ressources marines, de la pêche et de la navigation vise à développer le secteur, en doublant le PIB bleu actuel pour le porter à 20 % dans les années à venir, tout en promouvant l'environnement.
La stabilité de son gouvernement a permis à l'île Maurice de se développer non seulement dans le domaine de l'économie bleue, qui est gérée dans une optique de durabilité, mais aussi dans des secteurs tels que la finance, l'immobilier, l'industrie et les nouvelles technologies. La Banque mondiale classe l'île dans la catégorie des pays à "hauts revenus", la plus élevée.
CADRE INFORMEL
La journée a été ponctuée de réunions informelles au cours desquelles des personnes bien informées ont partagé leurs expériences.
Patrick Lecoy, PDG et fondateur d'EAD, une entité membre de la MEB spécialisée dans l'appui au développement international des entreprises, a évoqué la qualité de ses partenaires mauriciens et les nombreuses opportunités offertes, notamment pour accéder à la conquête de nouveaux marchés en Afrique du Sud et de l'Est. De l'autre côté, David Martial, un entrepreneur mauricien, a présenté son expérience réussie de travail avec Monaco.
Vers la fin de la journée, les délégués ont également rencontré Michel Gramaglia, Consul honoraire de Maurice à Monaco, et les dirigeants du Club des entrepreneurs monégasques en Afrique ainsi que Justin Highman, Directeur général adjoint de la MEB. Ils ont profité de l'occasion pour discuter des actions futures visant à renforcer les liens économiques entre les deux pays.
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